Nous étions les hommes, de Gilles Legardinier – La déchéance de l’humanité neurone par neurone

IMG_2733Ayant atterri dans ma liste de livres à lire grâce à son titre accrocheur, Nous étions les hommes de Gilles Legardinier est un thriller qui part d’un postulat on ne peut plus original : la maladie d’Alzheimer frappe les hommes de plus en plus tôt, et risque bien d’être la cause de la disparition de l’humanité. Voici ce que découvrent le docteur Scott Kinross et la généticienne Jenni Cooper dans leurs laboratoires d’Édimbourg. Une découverte qui les effraye et qui les met en danger mortel.

Le thriller commence par un premier chapitre véritablement captivant : il nous pousse directement dans le feu de l’action et ne nous laisse pas réellement de répits ou de temps pour savoir ce qu’il se passe. Nous voilà prévenu. Le reste du roman est principalement dans cette lignée.

Les évènements s’enchainent rapidement et avec fluidité, on se croirait par moment dans un James Bond classique, avec toujours plus de menaces silencieuses, de complots, d’affaires financières et de magnats mégalomanes.

Bien que la « révélation » du grand méchant soit somme toute très (et trop) prévisible, Nous étions les hommes reste un très bon thriller, prenant et accrocheur comme on les aime.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.